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Nos artistes

Adagio Artists, avec fierté, accompagne une large variété d'artistes lyriques, tous uniques dans leur talent et leur expression artistique, contribuant à l'enrichissement de la scène musicale internationale.

Sopranos

Tenors

Baritones & Bass

Mezzo-Sopranos

Conductors

Instrumentalists

Sopranos

Née au Portugal, Rafaela Albuquerque aborde la musique par le violon à l’Academia de Música de Santa Cecíliaà Lisbonne, avant d’entamer des études de chant à l’Escola Superior de Música de Lisbonne, où elle obtient son Bachelor.

Elle commence sa carrière avec les rôles de Sofia (Il Signor Bruschino) et Lauretta (Gianni Schicchi) avec la Fundação Caloust Gulbenkian.

Puis elle rejoint la Fabbrica, programme pour jeunes chanteurs de l’Opéra de Rome, où elle a l’occasion d’aborder de nombreux rôles : Barbarina (Le Nozze di Figaro), Clorinda (La Cenerentola), la Sacerdotessa (Aida), Annina (La Traviata) et surtout Zerlina (Don Giovanni). Elle est également doublure pour les rôles de Musetta (La Bohème) et Gilda (Rigoletto).

En 2018, elle remporte le premier prix du concours international Classic Pure Vienna.

Récemment, elle incarne Rosina (Il Barbiere di Siviglia) à Sesimbra, ainsi que Jessie (Mahagonny Songspiel) durant l’Operafest de Lisbonne.

Adagio Artists

ALBUQUERQUE Rafaela

Lirico

Après des études au CNSM de Paris (mention TB à l’unanimité), Jeanne Crousaud se voit confier deux premiers rôles : Ciboulette dans Mesdames de la Halle de Jacques Offenbach à l’Opéra Studio de Lyon et Le Petit Prince dans l’opéra éponyme de Michael Levinas (Théâtre du Châtelet, Opéras de Lausanne, Genève, Lille…), dans lesquels elle remporte un vif succès.

Au cours de sa jeune carrière, elle incarne les rôles de Blondchen (Die Entführung aus dem Serail) et Aspasia (Mitridate), Elvira (L’Italiana in Algeri), Clorinde (Cendrillon d’Isouard), Zerlina (La Sirène d’Auber), Musetta (La Bohème), Ernestine (Monsieur Choufleuri), la Première Nymphe (Rusalka), La Princesse (La Princesse légère de V. Cruz), Amour (Orfeo ed Euridice), Flavie (L’Elixir d’Hervé), Najade (Ariadne auf Naxos), Athéna et Circé (L’Odyssée de J.Matton).

Elle a notamment partagé la scène avec Felicity Lott au Festival Européen Jeunes Talents et avec Michael Spyres dans Le Pré aux Clercs de Ferdinand Hérold dans le rôle de Nicette à la Fondation Gulbenkian à Lisbonne produit par l’Opéra Comique et enregistré par le Palazzetto Bru Zane.

La jeune soprano a eu l’occasion de travailler avec des chefs d’orchestre tels que Arie van Beek, Paul Mc Creesh, Raphaël Pichon, David Reiland, Giuseppe Grazioli… ; avec les metteurs en scènes Joël Pommerat, André Engel, Benjamin Lazar, Lilo Baur, Dieter Kaegi, Vincent Vittoz, Nicola Berloffa… ; et les compositeurs Francesco Filidei, Benjamin Attahir, Jean-Luc Hervé, Violeta Cruz, Raphaël Cendo et Jules Matton.

Elle chante aussi régulièrement avec l’ensemble baroque Desmarest avec lequel elle enregistre Enone dans La descente d’Orphée aux Enfers de Marc-Antoine Charpentier en 2018.

L’année suivante, elle enregistre avec les Frivolités Parisiennes la rare Sirène d’Auber, où elle tient le rôle principal de Zerlina, un disque paru chez Naxos et salué par la critique.

En 2020, elle reprend notamment Clorinde (Cendrillon d’Isouard) et incarne la Princesse Fantasia (Le Voyage dans la Lune) à Montpellier.

Durant la saison 2021-2022, elle incarne notamment sa première Donna Anna (Don Giovanni) aux Nuits Lyriques de Marmande et obtient un grand succès avec première Ophélie (Hamlet) à Saint-Etienne.

Récemment, elle est notamment la Princesse Fantasia à Metz et Reims, ainsi qu’Arthur (La Nonne Sanglante) à Saint-Etienne.

Parmi ses projets, citons notamment la création italienne du Cantico delle Creature de Francesco Filidei au Teatro Carlo Felice de Gênes.

Adagio Artists

CROUSAUD Jeanne

Lirico-Coloratura

Les nombreuses apparitions de Gelena Gaskarova au Mariinsky l’ont conduite à interpréter des rôles tels que Tatiana (Eugène Onéguine), Micaëla (Carmen), ou encore Iolanta (Iolanta), sous la direction de Valery Gergiev, rôle qu’elle a repris en 2010 au Capitole de Toulouse avec Tugan Sokhiev puis en 2013 à Metz et à Nancy.

Récemment, elle a fait ses débuts en Rusalka, Antonia (Les Contes d’Hoffmann) et My Fair Lady dans une production de Robert Carsen, toujours au Mariinsky. Elle était également Maria dans Mazeppa au Concertgebouw d’Amsterdam, Zemfira (Aleko) et Francesca (Francesca da Rimini) de Rachmaninov et à l’Opéra National de Lorraine.

Elle chante Tatiana (Oneguine) à l’Opéra de Nantes-Angers en mai 2015 et reprend ce rôle à Tours en mai 2016 sous la direction de Jean-Yves Ossonce, dans une mise en scène d’Alain Garichot.

Durant les deux dernières saisons, elle chante Fiordiligi (Cosi fan tutte), Rusalka aussi bien que le rôle-titre Lucrezia Borgia, Micaëla and Tatiana.

Tout récemment, elle retrouve Tatiana au Théâtre des Champs-Elysées, dans une nouvelle production de Stéphane Braunschweig.

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GASKAROVA Gelena

Lirico

Originaire de Kazan et formée en Russie, Venera Gimadieva étudie à Saint-Pétersbourg et rejoint le Young Artists Program du Bolshoi.

Elle foule très vite les scènes internationales : c’est au Festival de Glyndebourne qu’elle est révélée au grand public dans le rôle de Violetta (La Traviata) qui lui ouvre rapidement les portes des grands théâtres tels que l’Opéra de Paris, Covent Garden, Hong Kong ou encore Washington.

Avec Lucia (Lucia di Lammermoor), Elvira (I Puritani) et la Reine de Chemakha (Le Coq d’or), ses autres chevaux de bataille, elle chante à Madrid, Munich, Dresde, Bruxelles, Vienne, Santa Fe…

Elle incarne également Amina (La Sonnambula) au Deutsche Oper de Berlin et au Bolshoi, Giulietta (I Capuleti e i Montecchi) à Berlin, Marguerite de Valois (Les Huguenots) à Dresde, Norina (Don Pasquale) et le rôle-titre dans La Fille des Neiges au Bolshoi, ainsi que Juliette (Roméo et Juliette) à Lima.

Tout récemment, elle chante Donna Anna (Don Giovanni) à Glyndebourne.

Parmi ses projets, citons notamment sa première Liù (Turandot) à la Monnaie de Bruxelles, une première étape vers un répertoire plus lyrique, suivant ainsi l’évolution naturelle de sa voix.

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GIMADIEVA Venera

Lirico

La soprano canadienne Leah Gordon est reconnue pour son lyrisme, ses notes aiguës rayonnantes et son registre médium puissant, associés à une maîtrise des registres et des nuances.
Diplômée de l'Université de Toronto et de la Guildhall School of Music & Drama, elle s'est forgé une carrière européenne très variée au cours des deux dernières décennies.

De 2008 à 2018, elle a été membre de l'ensemble du Staatstheater Nürnberg, où elle a interprété un large répertoire de rôles principaux et s'est imposée comme une artiste complète. Elle a notamment interprété les rôles d'Aida, Turandot, Tosca, Odabella (Attila), Amelia (Un ballo in maschera), Giorgetta (Il tabarro), Suor Angelica, Desdemona (Otello), Elvira (Ernani), Elisabeth (Tannhäuser) et Leonore (Fidelio) et Santuzza (Cavalleria Rusticana).
Son rôle fétiche est celui d'Élisabeth de Valois, qu'elle a interprété dans les versions française et italienne dans de grandes salles telles que l'Opéra Royal de Wallonie (Liège), le Théâtre de Bâle, le Théâtre de Kiel, le Théâtre de Berne, l'Opernfestspiele Heidenheim, le Saarländisches Staatstheater et le Théâtre de Fribourg.

Parmi ses autres rôles marquants, citons Ernani à l'Opéra flamand d'Anvers, Turandot et Tannhäuser auTeatro Comunale Pavarotti-Freni di Modena et Aida à l'Oper im Steinbruch St. Margarethen.
Elles'est également produite au Bayerische Staatsoper et au Festival de Glyndebourne.

Parmi ses engagements récents et à venir, citons Il trittico au National theater Mannheim, Odabella dans Attila à l'Opernfestspiele Heidenheim (enregistré pour Coviello Classics et diffusé via OperaVision), Tosca au Saarländisches Staatstheater et Lady Macbeth dans Macbeth à l'Opernfestspiele Heidenheim à l'été 2026. Elle est l'artiste à l'honneur de l'édition 2024/2025 du Heidenheim, où elle ouvrira le festival en concert avec la Deutsche Radio Philharmonie dans les Vier letzte Lieder de Strauss.

Gordon est lauréate du prix Elisabeth Connell pour sopranos dramatiques (deuxième prix) et a reçu à deux reprises la bourse du Conseil des arts du Canada, en plus des premiers prix dans des concours tels que Marcello Giordani, Magda Olivero, Beppe deTomasi, Jole de Maria et Nuovo Canto.

Outre son travail à l'opéra, elle mène une carrière active dans le domaine du récital et du crossover, explorant fréquemment le répertoire du jazz, de la comédie musicale et de la musique de film du début du XXe siècle. Une critique récente l'a qualifiée de « véritable arme polyvalente », soulignant que ses interprétations de comédies musicales étaient « subtiles au point d'en être nobles », livrées avec une finesse et une retenue émotionnelle, et totalement dépourvues du « pathos creux » souvent associé au genre.
Elle s'est également produite en récital au Festival Kurt Weill à Dessau.

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Lirico-Spinto

La soprano russe Svetlana Kasyan étudie au Conservatoire National de Moscou et fait partie du Young Artists Program du Bolshoi entre 2009 et 2011, avant de rejoindre la troupe de l’illustre théâtre et d’y chanter des rôles tels que Tosca, Kuma (L’Enchanteresse de Tchaïkovski), Fata Morgana (L’Amour des Trois Oranges) ou encore Kupava (La Fille des neiges).

Hors de Russie, elle incarne notamment Elisabetta (Don Carlo) au Teatro Regio de Turin, Cio-Cio San (Madama Butterfly) durant quatre saisons à la Fenice de Venise, Amelia (Un Ballo in maschera) au Dorset Opera Festival, Tosca à l’Opéra de Vilnius, au Théâtre de Saint-Gall, à la Fenice, à l’Opéra de Rome et au Festival Puccini de Torre del Lago.

Elle chante également Suor Angelica et Giorgetta (Il Tabarro) à Modène, Reggio Emilia, Ferrara, Parme et Piacenza, Odabella (Attila) à Modène, Manon Lescaut à Turin, Aida aux Arènes de Vérone et à Trieste…

Plus récemment, elle est Cio-Cio San à Bologne, Tosca à Bologne et à Belfast.

Parmi ses projets, citons notamment Francesca da Rimini de Rachmaninov et Abigaille (Nabucco) en Allemagne.

Adagio Artists

KASYAN Svetlana

Lirico-Spinto

Inva Mula fait une carrière éblouissante. Première lauréate du concours Operalia, elle était ensuite la voix de la Diva du film Le Cinquième Elément. Aujourd’hui elle est une des sopranos les plus réputées au monde et chante fréquemment aux côtés de Roberto Alagna et Jonas Kaufmann et sous la baguette des chefs d’orchestre tels que Daniel Oren, Carlo Rizzi, Roberto Abbado et Myung-Whun Chung. Elle a chanté Manon et Nanetta à la Scala de Milan, ainsi que les rôles de Marguerite, Mireille, Mimi à l’opéra de Paris. Aux arènes de Vérone elle s’est produite dans la Traviata , puis en Nedda, Desdemona, Marguerite, Antonia, Micaëla aux Chorégies d’Orange aux côtés de Jonas Kaufmann. Elle travaille régulièrement avec le Deutsche Oper Berlin (Nedda), Wiener Staatsoper (Manon et Nedda), Opernhaus Zürich (Mimi). Elle a repris le rôle de Violetta (Traviata) au NCPA de Pékin au moment de l’ouverture de ce théâtre.

Adagio Artists

Née d’un père allemand et d’une mère française. Camille Schnoor, termine ses études musicales au CNSM de Paris en 2007 en tant que pianiste concertiste, avant d'étudier le chant à Paris et à Maastricht.
Elle fait ses premiers pas sur la scène lyrique en 2012 en tant que lauréate boursière du théâtre d'Aix-la-Chapelle avant d'en rejoindre la troupe de 2014 à 2016 et d'y interpréter Luisa (Luisa Miller), Marie (La Fiancée Vendue), Agathe (Der Freischütz) ou encore Maria (West Side Story).
De 2016 à 2023, elle est soliste principale au Staatstheater am Gärtnerplatz de Munich, où elle incarne de nombreux rôles importants, notamment Donna Elvira (Don Giovanni), Fiordiligi (Così fan tutte), Mimì (La Bohème), Tatiana (Eugène Onéguine), Hanna Glawari (La Veuve joyeuse), Antonia et Giulietta (Les Contes d'Hoffmann).
Ses débuts dans le rôle de Cio-Cio-San (Madama Butterfly) en 2018 à l'Opéra de Limoges et à l'Opéra de Rouen Normandie sont salués par le public, la critique, et la production a été diffusée à plusieurs reprises à la télévision française.
En 2019, elle retrouve Fiordiligi à l'Opéra de Bergen en Norvège, et fait ses débuts à l'Opéra National de Lorraine dans le rôle de Hilda (Sigurd de Reyer).
Parmi les temps forts des dernières saisons, citons notamment ses débuts au Bayreuther Festspiele sous la direction de Pablo Heras-Casado (Parsifal), la Princesse étrangère (Rusalka) et Hanna Glawari (La Veuve joyeuse) à l'Opéra de Nice, Cio-Cio-San à Limoges, Rouen, Vichy et Heidenheim, Ariane (Ariadne auf Naxos) à Limoges et à l'Opéra de Budapest, Mimi (La Bohème) à Munich, Aix-la-Chapelle et Klosterneuburg, ses débuts à l'Elbphilharmonie avec les Dernières Ballades de Schumann sous la direction de Laurence Equilbey, et ses débuts en tant que Maréchale (Der Rosenkavalier) en concert à Genève. Son premier album solo "Les Âmes Naturelles" est sorti en 2022 sur le label Klarthe.
Parmi ses projets : Débuts à l'Opéra National de Bordeaux et à l'Opéra-Comique avec la création mondiale Les Sentinelles de Clara Olivares, Hanna Glawari au Staatstheater am Gärtnerplatz, la Princesse étrangère à l’opéra de Marseille, l'enregistrement d'un nouveau CD d'Amy Beach avec le Münchner Symphoniker, ainsi qu'un concert Wagner et Saint-Saëns avec l'Orchestre Colonne à la Salle Gaveau.
Camille Schnoor s'est produite aux Chorégies d’Orange en 2024 lors de l’émission “Musiques en fête” avec des extraits de Madame Butterfly, La Bohème et Faust, après avoir débuté à l'Opéra de Lille dans Rosalinde (la Chauve-souris).
Camille Schnoor, poursuit son ascension sur la scène lyrique avec des rôles marquants qui mettent en valeur la richesse de son timbre. En 2026, entre autres projets, elle reprendra le rôle de la Princesse étrangère dans Rusalka, l’opéra éponyme de Dvořák, à Limoges, et Madame Lidoine dans Le Dialogue des Carmelites à l’opéra National de Lorraine.

Adagio Artists

SCHNOOR Camille

Norma Sereni est une soprano franco-italienne née à Paris en 1997. Après avoir obtenu un diplôme en Business Management à l’Université de Warwick (Royaume-Uni), elle se consacre pleinement au chant lyrique. Elle débute sa formation vocale au Conservatoire de Parme auprès du Maestro Lelio Capilupi, puis la poursuit au Conservatorio di Santa Cecilia à Rome.
En 2019, elle fait ses débuts dans le rôle de la Comtesse dans Le Nozze di Figaro de W. A. Mozart au Teatro San Domenico de Foligno. En 2023, elle est sélectionnée pour la Puccini Academy de Torre del Lago ainsi que pour la Mascagni Academy de Livourne, où elle interprète le rôle de Suzel dans L’amico Fritz. La même année, lauréate du concours de Pérouse, elle chante Micaëla dans Carmen de Bizet lors d’un concert à la Casa Barezzi de Busseto aux côtés de la soprano Daniela Lojarro, recevant les félicitations personnelles de Marco Bergonzi, président de l’Accademia Verdiana.
Norma est finaliste du Concours Magda Olivero à Milan pour le rôle de Mimì dans La Bohème, ainsi que du 100e Prix Callas à Parme. Sous la direction artistique de la soprano Inva Mula, elle rencontre un succès personnel en interprétant Mimì lors d’un récital au Steinway Concert Hall de Dubaï. Depuis novembre 2023, elle fréquente l’Académie Raina Kabaivanska à Modène, après avoir participé à la masterclass de la célèbre soprano à Sofia, en Bulgarie.
En 2024, elle reçoit le prix de la Jeune Chanteuse la Plus Prometteuse au Koliqi International Competition de Milan et remporte le 3ᵉ prix du Concours Milton Marelli à Mirandola (Modène). Elle est également sélectionnée pour des concours prestigieux tels que le Portofino International Competition 2024, et devient finaliste de l’AGORA International Competition à Vérone en février 2025.
En septembre 2024, elle remporte le 2ᵉ prix du Vienna Beethoven Competition ainsi que le Prix du Public, et devient finaliste du Concours ASLICO de Côme pour le rôle de Nannetta (Falstaff).
Durant l’été 2025, elle participe au festival lyrique MIK Festival en Albanie, sous la direction du chef autrichien Christoph Huber, dans le rôle d’Adele de Die Fledermaus.
Depuis septembre 2025, elle a intégré le Young Artists Program du Teatro Massimo de Palerme.

Adagio artists

Tenors

Salué pour la beauté de son timbre, sa musicalité et ses qualités de comédien, Leonardo Caimi foule les planches les plus prestigieuses, telles que le Royal Opera House Covent Garden, le Teatro alla Scala de Milan, le Teatro Real de Madrid, le Bayerische Staatsoper, le Teatro Colon de Buenos Aires, le Deutsche Oper de Berlin ou encore le Festival de Salzbourg.

Parmi les moments marquants de sa riche carrière, on peut noter Don Carlo (Don Carlo) et Don José (Carmen) au Deutsche Oper de Berlin ; Calaf (Turandot) et Don José à l’Opéra de Leipzig durant quatre saisons ; Pinkerton (Madama Butterfly), Ruggero (La Rondine) et Rodolfo (La Bohème) au Festival Puccini de Torre del Lago ; Pinkerton à Séoul et à la Monnaie de Bruxelles, où il chante également Turridu (Cavalleria Rusticana) ; Maurizio (Adriana Lecouvreur) au Teatro Colon ; Roberto (Le Villi) pour la Radiotélévision Espagnole au Teatro Monumental de Madrid ; Don José au Teatro Real ; Gabriele Adorno (Simon Boccanegra) au Teatro San Carlo de Naples ; Calaf et Werther au Théâtre Wielki de Varsovie durant plusieurs saisons ; Riccardo (Un Ballo in maschera) à Rio de Janeiro et Darmstadt ; Mario Cavaradossi (Tosca) à Santiago du Chili et à Francfort ; Rodolfo et Roberto au Maggio Musicale Fiorentino ; Des Grieux (Manon), Radames (Aida), Don José et Manrico (Il Trovatore) à Tel Aviv. Il chante également Don José à Covent Garden, Henri (Les Vêpres siciliennes) à Francfort, Bonn et Palerme.

Récemment, il incarne Don Carlo à Bonn, Pinkerton à Cardiff, Calaf à Cologne, Don José à Prague, ainsi que Michele (La Ciociara de Marco Tutino) au Festival de Wexford et Rodolfo à Covent Garden.

Parmi ses projets, citons notamment Luigi (Il Tabarro) au Welsh National Opera, Don José au Teatro Colon, Manrico au Braunschweig Summer Festival, et surtout Hoffmann (Les Contes d’Hoffmann) à Covent Garden.

Adagio Artists

Lirico-Spinto

Le ténor franco-tunisien Amadi Lagha aborde la musique en étudiant la guitare classique et le chant. Il fréquente le Conservatoire de Jazz de Paris 17e et l’Université Paris 8 de 2000 à 2006, puis se perfectionne de 2007 à 2012 en chant lyrique dans la classe d’Alexandra Papadjiakou au Conservatoire de Paris. Il obtient parallèlement un Master 2 en Musique et Musicologie à l’Université Paris 8, puis s’inscrit à l’Université de Paris-Est / Marne-la-Vallée en tant que doctorant en art jusqu’en 2009.

Il est lauréat de nombreux concours d’opéra : 1er prix Michelangelo Cupisti du meilleur interprète de la saison 2017 au Festival Puccini de Torre del Lago ; 1er prix, prix de la critique et prix du mélodrame au Concours Amandola 2015 ; 1er prix au Concours Benvenuto Franci – Opera Pienza 2015 ; 1er prix au Concours International de Voix d’Opéra 2015 – O.M.E.G.A à Florence ; 2e prix au Concours International Katia Ricciarelli 2015 à Vérone ; 2e prix au Concours International Maria Caniglia 2014 à Sulmona.

Il se produit dans de nombreux théâtres en Europe et dans le monde en interprétant des rôles tels que Rodolfo (La Bohème) au Festival de Torre del Lago, au Teatro Politeama de Lecce et à l’Opéra de Metz, Calaf (Turandot) à l’Opéra de Shanghai, au Palau de les Arts à Valence, au NCPA à Pékin, au Festival Puccini, au Teatro Verdi de Trieste, au Festival de Savonlinna, à l’Opéra de Toulon…, Don José (Carmen) aux Arènes de Vérone, au Capitole de Toulouse, à l’Opéra de Marseille, au Festival de Savonlinna et aux Opéras de Hanovre et Leipzig, Radames (Aida) au Teatro Carlo Felice de Gênes, à l’Opéra National de Montpellier et à l’Opéra National de Tirana, Manrico (Il Trovatore) au Teatro Petruzzelli de Bari, Mario Cavaradossi (Tosca) au Festival Puccini, à l’Opéra National de Montpellier et au Deutsche Oper am Rhein, Pinkerton (Madama Butterfly) au Teatro de la Maestranza de Séville, Don Alvaro (La Forza del Destino) au Capitole de Toulouse, Gustav III (Un Ballo in maschera) au NCPA de Pékin, Rodolfo (Luisa Miller) au Festival Verdi de Parme, Carlo VII (Giovanna d’Arco) à Modène et Reggio Emilia, Canio (Pagliacci) au Teatro Verdi de Trieste, Turiddu (Cavalleria Rusticana) à Cagliari…

Il est dirigé de plusieurs chefs d’orchestre de renommée internationale tels que Gianpaolo Bisanti, Massimo Zanetti, Renato Palumbo, Kazushi Ono, Francesco Ivan Ciampa, Jordi Benaçer, Andrea Battistoni, Roberto Rizzi Brignoli…

Parmi ses prochains engagements, citons notamment Turiddu à Salerne, Dick Johnson (La Fanciulla del West) et Des Grieux (Manon Lescaut) au Teatro Regio de Turin, Foresto (Attila) et Luigi (Il Tabarro) à l’Opéra National de Tirana, Calaf à la Monnaie de Bruxelles, ainsi que Don Alvaro à l’Opéra National de Montpellier.

Adagio Artists

Lirico-Spinto

Né à Madagascar, Sahy Ratia poursuit ses études vocales au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dont il est diplômé en 2017.

Il débute sa carrière avec succès en interprétant Nemorino (L’Elisir d’amore) à l’Opéra d’Avignon en mai 2019, avant de chanter son premier Pâris (La Belle Hélène) au Théâtre de Saint-Gall.
Parmi ses engagements marquants, il interprète Georges Brown (La Dame blanche de Boieldieu) dans la tournée de La Co[opéra]tive (Compiègne, Besançon, Rennes, Quimper, Tourcoing, Dunkerque, Saint-Céré), ainsi que Haroun (Djamileh de Bizet) et Kornélis (La Princesse jaunede Saint-Saëns) à l’Opéra de Tours et à Tourcoing, avant d’enregistrer Djamileh pour le Palazzetto Bru Zane. En 2022-2023, il fait ses débuts au Staatsoper de Berlin dans le rôle de Marzio (Mitridate), chante son premier Tonio (La Fille du régiment) au Théâtre des Champs-Élysées sous la direction d’Hervé Niquet, Ali (Zémire et Azor de Grétry) à l’Opéra-Comique, ainsi que Gilbert (Lucie de Lammermoor) au Festival d’Aix-en-Provence.

Il retrouve ensuite Marzio au Staatsoper de Berlin, chante Pedrillo (Die Entführung aus dem Serail) au Théâtre des Champs-Élysées avec le Concert de la Loge, et Mercure (Orphée aux Enfers) à l’Elbphilharmonie de Hambourg sous la direction de Marc Minkowski. À l’Opéra de Nice, il chante le Pêcheur (Le Rossignol de Stravinsky) et le Journaliste parisien / Monsieur Lacouf (Les Mamelles de Tirésias).

En concert, il interprète la partie de ténor dans le Requiem de Mozart, avec le Cercle de l’Harmonie au Festival de Saint-Denis, puis avec le Concert de la Loge au Festival Radio France de Montpellier. Il chante également Ruodi (Guillaume Tell) à l’Opéra de Lausanne.

La saison dernière, il était le Chevalier de la Force (Dialogues des Carmélites) au Théâtre des Champs-Élysées dans la mise en scène d’Olivier Py, ainsi que Séraphin (Giuditta de Lehár) à l’Opéra national du Rhin, et Ferrando (Così fan tutte) en tournée avec Miroirs Étendus.

Cette saison, il sera Gandhi dans la création européenne de Satyagraha de Philip Glass à l’Opéra de Nice, avant d’endosser le rôle-titre de Robinson Crusoé au Théâtre des Champs- Élysées.

Le début de l’année 2026 le retrouvera dans le rôle d’Arthur (Lucie de Lammermoor) à l’Opera Comique puis il participera à la production de Castor et Pollux au Grand Théâtre de Genève.

Adagio Artists

Lirico-Leggero

Née en Chine, You Shao étudie le chant au Conservatoire de Shanghai dans la classe de Wu Bo, et obtient sa licence en musique & littérature en 2008.
La même année il choisit de se rendre en France pour continuer ses études, et travaille sa technique vocale auprès d’Eléonore Jost et de Leontina Vaduva.

En 2012, il entre à la Chapelle musicale Reine Elisabeth et se perfectionne auprès de Jose Van Dame. Il remporte le quatrième prix du Concours Reine Elisabeth en 2014. La même année il gagne le troisième prix du Concours de chant de Toulouse.

Par la suite il intègre l’Académie de l’Opéra National de Paris et interprète les rôles de Pylade (Iphigénie en Tauride) au Théâtre de Saint Quentin en Yvelines et de Ferrando (Cosi fan tutte) à la Maison des Arts de Créteil et au Théâtre d’Antibes, il chante aussi dans les productions d’Aïda puis de Lucia di Lammermoor à l’Opéra Bastille, interprète le Requiem de Mozart à l’Opéra de Saint-Etienne, puis le rôle du Steurmann (Der Fliegende Holländer) à l’Opéra de Lille et celui de Bénédict dans Le Timbre d’Argent de Camille Saint-Saëns à l’Opéra-Comique.

Il se produit en récital à l’Amphithéâtre Bastille et enregistre, avec Hervé Niquet et la Philharmonie de Brussel, les cantates Fernand et La Vendetta de Gounod (à paraître prochainement).

Parmi ses engagements citons les rôles Pâtre et le Marin (Tristan et Isolde) à l’Opéra de Montpellier, Steurmann (Der Fliegende Holländer) à l’Opéra de Rennes, de Nantes et d’Angers ainsi que le rôle d’Ismaël (Nabucco) dans le cadre Domstufen Festspiele, Ruiz (Il Trovatore) à l’Opéra de Paris, Nemorino (L’Elisir D’Amore) à l’Opéra de Bordeaux.

En 2023, il participe pour la première fois au festival d’Aix-en-Provence et chante Arthur (Lucia de Lamermoor) au concert de clôture, ensuite chante au concert de Noël pour La Messe en Ut de Mozart avec la Philharmonie de Strasbourg.

L’année dernière il a chanté Alfredo (Traviata) au festival de Parenthèse Musicale à Clohar Carnoët, et Gaston (Traviata) à la Philharmonie de Paris sous la baguette de Jérémie Rhorer.

Tout récemment il a interprété Roméo (Roméo et Juliette) à La Seine Musicale et reprendra ce rôle au Théâtre des Champs Elysées en 2026. Il poursuivra ses engagements en solo à la Maison de Radio à Paris pour Le roi David d’Arthur Honegger.

Adagio Artists

Lirico

Lirico

Le ténor allemand Uwe Stickert étudie le piano et le chant dès son enfance et achève sa formation à la Hochschule für Musik « Franz Liszt » de Weimar.
Il est régulièrement invité par les théâtres allemands, tels que le Komische Oper de Berlin, l’Aalto Theater de Essen ainsi que le Staatstheater de Nuremberg.
Parmi ses rôles, on peut citer Arnold (Guillaume Tell), Dorvil (La Scala di Seta), Rodrigo (Otello) ou bien encore le Comte Almaviva (Il Barbiere di Siviglia), ainsi que Titus, Tamino, Ferrando, Don Ottavio ou encore Belmonte.
On a pu l’entendre également dans les rôles d’Ernesto (Don Pasquale) Fadinard (Il Cappello di Paglia di Firenze), Oronte (Alcina).
En concert, il interprète aussi bien lieder qu’oratorios et les Passions de Bach (en Israël, Italie, Chine, Suisse et France). Il a travaillé sous la direction de chefs tels que Daniel Barenboim, Helmut Rilling, Iac van Steen, Geogre Alexander Albrecht et Christopher Hogwood.
A partir de 2016, il se fait remarquer dans le répertoire romantique français avec Léopold (La Juive) à Nuremberg, ainsi que Raoul de Nangis (Les Huguenots) à l’Opéra de Nice, avec lequel il obtient un grand succès.
En 2017, il chante Faust (Faust de Gounod) à Berne, avant d’incarner, l’année suivante, le rôle de Desportes (Die Soldaten de Zimmermann) au Teatro Real de Madrid.
Puis, suivant l’évolution de sa voix vers un répertoire plus dramatique, il interprète Henri (Les Vêpres siciliennes) à Würzburg, ainsi que Hüon (Oberon) à Graz et Eginhard (Fierrabras) à Berne.
En 2020, il aborde pour la première fois Lohengrin à Erfurt.
Tout récemment, il effectue des débuts très remarqués à l’Opéra d’Avignon avec son premier Peter Grimes, une prise de rôle unanimement saluée par la critique.

Adagio Artists

Lirico

Andrés Sulbarán, ténor vénézuélien né en 1990, est formé au sein de l’académie El Sistema avant de débuter à l’opéra en 2013 dans La mujer de espaldas de Federico Ruiz à Caracas. Il se produit ensuite à La Scala de Milan dans La Bohème sous la direction de Gustavo Dudamel.

Entre 2016 et 2018, il intègre le Centre Plácido Domingo de Valence, où il interprète Peter Quint (The Turn of the Screw), Vitellozzo (Lucrezia Borgia), Tebaldo (I Vespri Siciliani) et Bastien (Bastien und Bastienne).

De 2018 à 2022, il rejoint le Deutsche Oper am Rhein, où il aborde un large répertoire : Tamino, Chaplitsky, Fenton, Orphée, Tybalt, entre autres. En 2023, il est acclamé en Ernesto (Don Pasquale) dans une mise en scène de Rolando Villazón, ainsi qu’en Tonio, Rinuccio et dans Le Vaisseau fantôme.

La saison 2024/2025 le voit incarner Arturo, Tamino, Sascha, le Premier Chevalier du Graal (Parsifal), et les quatre rôles de caractère dans Les Contes d’Hoffmann. En avril 2026, il fera ses débuts au Théâtre du Capitole de Toulouse dans le rôle de Roderigo (Otello).

Sa voix lumineuse, son engagement dramatique et son goût pour les personnages contrastés en font l’un des jeunes ténors les plus prometteurs de sa génération. Son répertoire s’élargit constamment au fil des productions et ne cesse de conquérir les scènes européennes.

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SULBARAN Andres

Lirico

Baritones & Bass

Né à Malte, Dominic Barberi étudie au Conservatoire Royal d’Écosse, avant de faire ses débuts dans le rôle d’un Familier de Sénèque (L’Incoronazione di Poppea) à Opera North.

Puis il rejoint le Studio du Staatsoper unter den Linden de Berlin entre 2015 et 2018, où il interprète notamment des rôles tels que Pietro (Simon Boccanegra), le Baron Douphol (La Traviata), Tom (Un Ballo in maschera), Sarastro (Die Zauberflöte) et Colline (La Bohème).

Durant l’été 2016, il fait ses débuts dans les rôles de Colas (Bastien et Bastienne) et du Commandeur (Don Giovanni) au Festival de Bregenz. Il incarne ensuite Ferrando (Il Trovatore) au Théâtre de Dessau, Publio (La Clemenza di Tito) et Zuniga (Carmen) au Staatstheater de Braunschweig.

Membre de l’Ensemble du Théâtre National de Mannheim de 2018 à 2020, il s’y produit dans les rôles de Colline, Alidoro (La Cenerentola) et Angelotti (Tosca).

Durant la pandémie, ses débuts à la Scala de Milan sont hélas annulés, mais il interprète néanmoins Sir Giorgio (I Puritani) à Oviedo. Puis il prend part au Nez de Chostakovitch au Komische Oper de Berlin et il incarne Angelotti à l’Opéra de Leipzig.

Il fait ses débuts en France dans le rôle de Bottom (A Midsummer Night’s Dream) à l’Opéra de Lille, avant d’être Alidoro à l’Opéra de Montpellier et Collatinus (The Rape of Lucretia) au Capitole de Toulouse.

Récemment, il est Gravis/Theologe (Doktor Faust de Busoni) au Maggio Musicale Fiorentino, ainsi que le Manchot (Die Frau ohne Schatten) à Toulouse.

Parmi ses projets, citons notamment le Premier Soldat (Salome) à l’Opéra National de Paris.

Adagio Artists

BARBERI Dominic

Basse

Après avoir étudié le chant au Conservatoire de Nice puis au CNSM de Paris, Jacques-Greg Belobo devient membre de la troupe du Semperoper de Dresde entre 2003 et 2011.

Invité régulier des maisons d’opéras, il travaille avec des chefs tels que Zubin Metha, James Levine, Myung-Whun Chung, ou Fabio Luisi. Ses rôles comprennent : Figaro (Le Nozze di Figaro), Banco (Macbeth), Escamillo (Carmen), Biterolf (Tannhäuser) et Don Basilio (Il Barbiere di Siviglia) au Semperoper, Angelotti (Tosca) à Nice, Escamillo au Volksoper de Vienne.

En janvier 2015 il chante Le Roi/Le Chancelier (Cinq-Mars) de Gounod au Théâtre an der Wien et à l’Opéra Royal de Versailles où il a également chanté en mai dans Uthal de Méhul. Deux mois plus tard, il chante dans un concert aux cotés d’Inva Mula dans un programme Bizet à la Philharmonie de Paris sous la direction de Jean-Claude Casadesus.

En juillet 2018, il participe au grand concert organisé au Bolshoi de Moscou par la FIFA à l’occasion de la Coupe du Monde, durant lequel il interprète l’air du « Veau d’or » extrait du Faust de Gounod.

Il chante également le rôle de Nourabad (Les Pêcheurs de perles) à l’Opéra de Toulon en décembre 2019.

Tout récemment, il incarne Don Basilio (Il Barbiere di Siviglia) l’Opéra de Montpellier, le Moine (Don Carlo) à l’Opéra de Marseille ainsi que Ramfis (Aida) à Montpellier.

Parmi ses projets, citons notamment le Vieillard hébreux (Samson et Dalila) à l’Opéra d’Avignon.

Adagio Artists

BELOBO Jacques-Greg

Basse

Également pianiste accompli et chef de chant, le baryton Jérôme Boutillier est diplômé du Pôle Supérieur Paris Boulogne-Billancourt où il étudie avec Blandine de Saint-Sauveur.

Révélation classique de l’ADAMI 2016, ses premières années de carrière sont marquées par son remplacement au pied levé dans le le rôle de Luddorf (La Nonne Sanglante de Gounod) à l’Opéra Comique en juin 2018. Après ses débuts au Grand Théâtre de Genève dans Morales (Carmen), il remporte le Deuxième Prix lors de la 6e édition de la Paris Opera Competition au Théâtre des Champs-Elysées.

Défenseur du répertoire français, il est notamment Bardi (Dante de Godard) à Saint-Etienne en mars 2019, puis Hagen (Sigurd de Reyer) à l’Opéra National de Lorraine en octobre de la même année. Prise de rôle importante, il chante son premier Zurga (Les Pêcheurs de perles) à l’Opéra de Toulon au mois de décembre 2019, puis incarne Gaveston (La Dame blanche) à l’Opéra Comique. Durant la pandémie, il chante Ralph (La Jolie Fille de Perth) et Zurga lors d’un Gala Bizet à l’Opéra de Montpellier sous la direction de Laurence Equilbey, avant de retrouver Zurga à l’Opéra de Marseille, aux côtés de Patrizia Ciofi et Julien Dran.

Puis il incarne son premier Albert (Werther) à Montpellier, ainsi que son premier Don Giovanni aux Nuits Lyriques de Marmande en août 2021.

En 2021-2022, il retrouve la Salle Favart avec les rôles de Parker (Les Eclairs, création de Philippe Hersant) et Capulet (Roméo et Juliette). Après quoi il obtient un immense succès avec son premier Hamlet à l’Opéra de Saint- Etienne avant d’aborder Oreste (Iphigénie en Tauride) à l’Opéra de Rouen et son premier Rodrigo di Posa (Don Carlo) à l’Opéra de Marseille. Il fait également ses ses débuts nord-américains avec Valentin (Faust) à l’Opéra de Québec et tient la partie de Claudio (Béatrice et Bénédict) au Festival Berlioz sous la baguette de John Nelson.

En 2022-2023, il enregistre le rôle de Philoctète (Déjanire de Saint-Saëns) avec l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, puis aborde Marcello (La Bohème) au Capitole de Toulouse. Il débute ensuite à l’Opéra Royal de Wallonie dans le rôle du Baron (La Vie parisienne), qu’il enregistre également avec le Palazzetto Bru Zane. Puis il fait ses débuts à l’Opéra National de Paris en tant que doublure de Ludovic Tézier dans le rôle d’Hamlet et avec le Duc de Vérone (Roméo et Juliette). Il aborde également Germont (La Traviata) à la Seine Musicale avec Mathieu Herzog et retrouve Luddorf à l’Opéra de Saint-Etienne.

Tout récemment, il incarne Nelusko (L’Africaine) et Germont à l’Opéra de Marseille, ainsi qu’Escamillo (Carmen) au Théâtre des Champs-Elysées, le Baron à Montpellier, Karnac (Le Roi d’Ys) à Budapest avec le Palazzetto Bru Zane et Ben Saïd (Le Tribut de Zamora de Gounod) à Saint-Etienne. Il fait également ses débuts en Italie avec Albert au Teatro Carlo Felice de Gênes et en Allemagne avec Fieramosca (Benvenuto Cellini) au Semperoper de Dresde, qu’il retrouvera la saison prochaine.

Parmi ses projets, citons notamment trois concerts aux côtés d’Anna Netrebko, à Linz, Bucarest et au Teatro Real de Madrid, Athanaël (Thaïs) à Saint-Etienne, le Marquis de la Force (Dialogues des Carmélites) à Rouen, ainsi que Méphistophélès (Faust) dans la rare version opéra-comique de l’œuvre à l’Opéra Comique et à Lille. Il fera également ses débuts au Bayerische Staatsoper avec Escamillo.

Adagio Artists

BOUTILLIER Jérôme

Lirico

Né à Vienne, le baryton Michael HAVLICEK étudie au Conservatoire de sa ville natale. Il effectue ses débuts en 2004 avec le rôle de Papageno dans Die Zauberflöte qui devient très vite son cheval de bataille. Plus tard, il chante des rôles tels que Guglielmo dans Cosi fan tutte ainsi que Boni dans Die Csardasfürstin.

En 2012, il devient membre de la troupe du Volksoper de Vienne, où il ajoute à son répertoire les rôles de Morales dans Carmen et Pappacoda dans Eine Nacht in Venedig.

En 2014, il fait ses débuts à l’Opéra National de Paris dans le rôle du Deuxième Prêtre dans Die Zauberflöte, dirigé par Philippe Jordan.

Récemment, toujours fidèle au Volksoper, il y interprète Masetto dans Don Giovanni, Paul Aubier dans Der Opernball, le Vicomte Cascada dans Die lustige Witwe, un rôle qu’il a également chanté à Tokyo.

Parmi ses projets, citons notamment ses retrouvailles avec ses chers Papageno et Boni.

Adagio Artists

HAVLICEK Michael

Lirico

Né à Tver, en Russie, le jeune baryton Aleksei Isaev étudie à l'Académie de musique Gnessin de Moscou.
En 2011, il devient soliste au prestigieux Théâtre Helikon de Moscou, où il interprète un vaste répertoire : Eugène Onéguine, le prince Yeletsky et Tomsky (La Dame de pique), le comte di Luna (Il Trovatore), Silvio (Pagliacci), le rôle-titre de Le Démon de Rubinstein, Escamillo (Carmen), le comte d'Almaviva (Le Nozze di Figaro)…
À l'étranger, il est Renato (Un Ballo in maschera) et Griaznoï (La Fiancée du tsar) à l'Opéra de Tallinn, ainsi qu'Enrico(Lucia di Lammermoor) au Semperoper de Dresde. Il chante également Iago (Otello) au Staatstheater Wiesbaden aux côtés de Gregory Kunde.
En janvier 2020, il remplace au pied levé le rôle-titre du Démon au Grand Théâtre de Bordeaux (France) et fait ainsi ses débuts en France.
Après la pandémie, il chante Scarpia et Aleko au Théâtre Helikon, Conte di Luna à Wiesbaden, ainsi que Germont à Helsinki.
En octobre 2022, il est remarqué pour son interprétation de Vodnik (Rusalka) au Capitole de Toulouse, un rôle qu'il reprend en février 2023 pour ses débuts à Covent Garden sous la direction de Simon Bychkov.
Sa carrière internationale prend alors un essor prestigieux. Au Royal Opera House Covent Garden, il chante Carlo Gérard (Andrea Chénier) aux côtés de Jonas Kaufmann et Sondra Radvanovsky, puis Scarpia aux côtés de Sonya Yoncheva et Yusif Eyvazov, le Conte di Luna, un rôle qu'il reprend à l’Opéra de Hambourg, Iago au Semperoper de Dresde, une tournée de concerts Moussorvski avec la Nordwestdeusche Phihamonie avant de chanter Hermann (Lorelei de Catalani) au Concertgebouw d'Amsterdam.
La saison dernière, il a fait ses débuts au Bayerische Staatsoper de Munich avec Sharpless (Madama Butterfly), des débuts très remarqués et unanimement salués par la presse dans le rôle du Hollandais (Der fliegende Holländer) au Capitole de Toulouse, puis à Turin dans le rôle de Gérard (Andrea Chenier). Cet été, il était le Conte di Luna aux côtés d'Anna Netrebko aux prestigieuses « Chorégies d'Orange».
Cette saison, il participe à la tournée en Chine du Bayerische Staatsoper avec le rôle de Iago (Verdi Otello) puis il sera Tonio (Pagliacci) et Alfio (Cavalleria Rusticana) à l’Opéra de Dijon avant de retourner au Royal Opera Covent Garden avec Germont (La Traviata) Aleko et Alfio à Palerme, et fera ses débuts à La Monnaie à Bruxelles dans le rôle de Scarpia.

Adagio Artists

Drammatico

Jochen Kupfer, baryton wagnérien, est l’un des représentants les plus en vue des chanteurs allemands.

Il étudie à Leipzig et recueille les conseils de ses aînés, notamment Dietrich Fischer-Dieskau, tout en abordant ses premiers rôles, notamment Wolfram (Tannhäuser).

Très large, son répertoire comprend aussi bien Germont (La Traviata) que Pizarro (Fidelio). Mais c’est véritablement dans le grand répertoire germanique wagnérien et straussien qu’il se fait connaître. Il obtient de grands succès avec Mandryka (Arabella), Kurwenal (Tristan und Isolde), Orest (Elektra), Beckmesser (Die Meistersinger von Nürnberg) qu’il chante notamment à Glyndebourne en 2016.

Outre ses engagements fixes au Semperoper de Dresde et au Staatstheater Nürnberg, il est invité aux Opéras de Tokyo, de Strasbourg et au Teatro Colòn de Buenos Aires, ainsi qu’au Komische Oper de Berlin et à l’Opéra de Leipzig et de Zurich, à la Staatsoper Unter den Linden de Berlin et à la Bayerische Staatsoper de Munich.

Temps fort de sa carrière, il est nommé « Bayerische Kammersänger » en janvier 2016.

En 2018, il chante notamment Escamillo à Nuremberg et Beckmesser au NCPA de Pékin.

Récemment, il retrouve Kurwenal à l’Opéra National de Montpellier sous la direction de Michael Schoenwandt.

Parmi ses projets, citons notamment Giove dans La Calisto ainsi que Lescaut dans Manon Lescaut, toujours à Nürnberg.

Adagio Artists

Drammatico

Né en Hongrie en 1985, Levente Pall intègre tout d’abord la troupe du Théâtre de Saint-Gall où il interprète des rôles tels qu’Oroveso (Norma), Grémine (Eugène Oneguine), Banco (Macbeth)…

Puis il rejoint le Staatstheater am Gärtnerplatz à Munich où il aborde des rôles tels que Don Alfonso (Così fan tutte), Nourabad (Les Pêcheurs de perles), Osmin (Die Entführung aus dem Serail) et Leporello (Don Giovanni)…

En 2016, il chante le rôle du Roi Henri (Lohengrin) en version de concert à Montpellier sous la direction de Michael Schønwandt ainsi que la partie de basse soliste dans la 9e Symphonie de Beethoven à Saint-Gall et Stuttgart ainsi que dans la Messe en si mineur de Bach au Musikverein de Vienne.

En septembre 2017, il incarne le rôle de Masetto à l’Opéra National de Lorraine, puis au Grand Théâtre du Luxembourg, sous la direction de Rani Calderon. Puis il incarne Don Magnifico (La Cenerentola) ainsi que le rôle-titre dans Don Pasquale de Donizetti au Staatstheater am Gärtnerplatz.

Il fait ses débuts à Covent Garden avec le Premier Soldat (Salome) en 2018 et c’est avec le Geôlier (Tosca) qu’il débute au Osterfestpiele de Salzbourg, où il revient avec Fritz Kothner (Die Meistersinger von Nürnberg).

Il chante également le rôle de Hermann Ortel au Bayerische Staatsoper, le Sacristain (Tosca), Biterolf (Tannhäuser) et l’Orateur (Die Zauberflöte) au Staatsoper de Hambourg, ainsi que les rôles de Leporello, Bartolo (Il Barbiere di Siviglia) et Colline (La Bohème) au Staatstheater am Gärtnerplatz.

En outre, il est Sparafucile (Rigoletto) au Festival de Bregenz, où il retourne récemment avec le Zio Bonzo (Madama Butterfly).

Parmi ses projets, citons notamment le Blaireau/le Curé (La Petite Renarde rusée) et l’Ermite (Der Freischütz) au Theater an der Wien.

Adagio Artists

Basse

Carlos Reynoso, baryton mexicain né en 1997, débute sa formation vocale à l’Université de Mexico, où il obtient un Bachelor en 2020. Il intègre ensuite le Mexico Opera Studio, où il chante pour la première fois le rôle de Don Giovanni. De 2021 à 2023, il rejoint le Young Artists Program du Palau des Arts à Valence, abordant divers rôles comme Don Fabio, Pippo, Littore et Boy 2 (Trouble in Tahiti).

En parallèle, il se distingue par une démarche patrimoniale forte en fondant la compagnie Ópera: Nuestra Herencia Olvidada, dédiée à la valorisation du répertoire lyrique mexicain, notamment à travers un projet discographique autour de Cenobio Paniagua.

En 2023, il fait ses débuts sur plusieurs scènes européennes : au Teatro Principal de Palma de Majorque (Spinelloccio – Gianni Schicchi) et à l’Opéra de Tenerife (Sam – Trouble in Tahiti). Lauréat de concours internationaux (Bologne, Carlo Morelli). Il est sélectionné par le prestigieux festival de Pesaro pour interpréter Il Barone di Trombonok (1er cast) dans leur production du Viaggio a Reims à l’été 2024.

Il intègre à la rentrée 2024 le Studio de l’Opéra national du Rhin et y interprète notamment les rôles titres de Peer Gynt et de Brundibàr ainsi que le Deuxième Brigand Les Trois Brigands, (Puntos), Il marchese d'Obigny (La Traviata)…. Il est également invité au Royal Opera Festival de Lusławice pour chanter Ormondo dans L’inganno felice de Rossini (juin 2025), avant d'incarner Mercutio dans Roméo et Juliette de Gounod (version Verdier) à l’Opéra de Massy (janvier 2026), puis au Théâtre des Champs-Élysées (février 2026).
En mai 2026, il prendra part à la production participative Turandot, énigmes au musée, présentée au Théâtre des Arts de Rouen, dans laquelle il tiendra le rôle de Ping.
Carlos Reynoso développe parallèlement un répertoire en constante expansion : Belcore (L’elisir d’amore), Guglielmo (Così fan tutte), Dandini (La Cenerentola) ou encore Bass (Trouble in Tahiti).
La saison suivante, il tiendra le rôle-titre de la création d’un opéra de la compositrice mexicaine Diana Syrse.
Adagio Artists

Lirico

Mezzo-Sopranos

Après plusieurs années dans la troupe de l’Opéra de Dresde où elle y chante les rôles de Rosina (Il Barbiere di Siviglia), Cherubino (Le Nozze di Figaro), Hänsel (Hänsel und Gretel), Carmen, Deuxième Dame (Die Zauberflöte), Medoro (Orlando de Handel) et Flora (La Traviata), Gala El Hadidi chante sur les grandes scènes internationales.

Elle chante également dans la 8e Symphonie de Mahler et interprète Barbaricha dans Le Conte du Tsar Saltan au Dresden Operette.

Durant ces dernières saisons, elle chante le rôle-titre dans Carmen, son cheval de bataille, tant à Zurich qu’à Liège et en France, à Paris et en tournée, avec « Opéra en plein air ».

Récemment, elle chante le rôle-titre dans La Belle Hélène d’Offenbach à Saint-Gall.

Parmi ses projets, citons notamment que Maddalena dans Rigoletto à Hanovre.

Adagio Artists

Lirico

La mezzo-soprano espagnole Begoña Gómez est distinguée par la richesse de son timbre et la maturité de son interprétation sur les scènes lyriques d’Espagne et d’Europe.
Formée à l’Universität der Künste de Berlin, où elle obtient un Master en Opéra (2021–2023), elle avait auparavant poursuivi un Master en musique espagnole au Real Conservatorio Superior de Música de Madrid (2020–2021), ainsi qu’un Bachelor of Music, spécialité chant, à l’ESCM (2016–2020).
Son expérience scénique couvre un vaste répertoire d’opéra et d’oratorio. Elle a incarné notamment Rosina (Il Barbiere di Siviglia, Rossini) au Teatre Principal d’Inca, Stéphano (Roméo et Juliette, Gounod) au Teatre Principal de Palma, Flora (La Traviata, Verdi), Sorceress (Dido and Aeneas, Purcell), Marcellina (Le Nozze di Figaro, Mozart) à l’Universität der Künste de Berlin, ainsi que Sistra (The Fiery Angel, Prokofiev) au Teatro Real de Madrid.
Elle a également interprété Candelas (El amor brujo, Manuel de Falla) à l’Auditorio Nacional, Fidela (La Malquerida, Penella) aux Teatros del Canal, Miss Baggot (The Little Sweep, Britten), 2e Dame (Die Zauberflöte, Mozart) et Ciesca (Gianni Schicchi, Puccini). On a pu l’entendre en concert dans les grands oratorios tels que le Stabat Mater (Haydn et Rossini) et le Requiem (Mozart) à la Catedral de Mallorca avec l’Orquestra Simfònica de les Iles Balears.
Lauréate de plusieurs distinctions, Begoña Gómez a remporté le Prix de la meilleure chanteuse d’opéra au Concours International de Chant Ciudad de Logroño 2025, ainsi que le Prix Richard-Wagner-Verband Berlin-Brandenburg (2023). Elle a également reçu le Prix de la meilleure chanson contemporaine (H. Nafilyan) au Concours International Georges Enesco de Paris, et a été finaliste du XIe Certamen Internacional de Zarzuela de Valleseco.
Elle a participé au programme Crescendo III – Young Artist Program du Teatro Real, et a eu l’occasion de travailler avec des chefs d’orchestre tels que Jordi Bernàcer, Manuel Coves, Errico Fresis, Franck Villard, Carlos Aragón, Andrés Salado et Pablo Mielgo.
Sur le plan artistique, elle a bénéficié de l’enseignement et du mentorat de Albert Pesendorfer, Sebastian Störmer, Helen Collyer, David Menéndez, Rubén Fernández-Aguirre et Deborah Polaski. Parmi les metteurs en scène avec lesquels elle a collaboré figurent Jorinde Keesmaat, Frank Hilbrich, Isabel Hindersin, Mario Gas, Céline Gaudier, Hugo de Ana et Emilio Sagi.
Parmi ses prochains engagements figurent sa participation au concert Symphonie Beethoven à l’OSIB (Majorque), La corte del faraón (rôle de la Viuda) au Teatre Principal de Palma, El gitano por amor de Manuel García (rôle de Laura) au Teatro de la Zarzuela (Madrid), ainsi que la production de Rigoletto (rôle de Maddalena) au Teatre Principal de Palma.
Artiste complète, Begoña Gómez poursuit une carrière prometteuse, alliant un engagement profond pour la musique dramatique et un goût prononcé pour la diversité stylistique du répertoire lyrique et symphonique.

Adagio artists

Ekaterina Sergeeva a fait ses études au conservatoire d’Etat Rimsky-Korsakov de Saint-Pétersbourg de 2000 à 2005. A partir de cette date elle se perfectionne auprès de grands maîtres du chant tels que Mirella Freni, Elena Obrastzova et Vladimir Atlantov, et entre à l’Académie des jeunes chanteurs du Mariinsky. Elle débute ainsi sur les planches du prestigieux théâtre Mariinsky sous la baguette de Valery Gergiev, et y développe son répertoire.

Elle excelle dans le répertoire russe, Olga (Eugène Onéguine), Liubava (Sadko), Laura (Iolanta), Lel (Blanche Neige), Liubasha (La Fiancée du Tsar), Pauline (La Dame de Pique), et aussi dans les répertoires français, italiens et allemands, de Cherubino (Le Nozze di Figaro) à Carmen en passant par Flosshilde (Das Rheingold), Marie (Der fliegende Höllander), Driade (Ariadne auf Naxos), Suor Dolcina (Suor Angelica).

A partir de 2010 elle débute une carrière internationale en interprétant Olga (Eugène Onéguine), à Monte Carlo sous la direction de Dimitri Jurowski, et tient la partie de contralto solo dans la Neuvième symphonie de Beethoven au Tirolien Festival, elle y interprète aussi Marie (Der fliegende Höllander). Elle participe à plusieurs enregistrements sous la baguette de Valery Gergiev, dont Iolanta, aux côtés d’Anna Netrebko et Elektra avec le London Symphony Orchestra.

Elle a remporté plusieurs prix internationaux, dont celui du concours international Rimsky-Korsakov en 2006 à Saint-Pétersbourg.

Elle a récemment chanté Olga (Eugène Onéguine) à l’Opéra de Munich et au Festival de Glyndebourne.

Elle chante Blanche dans Le Joueur de Prokofiev sous la baguette de Mikhail Tatarnikov et dans la mise en scène de Jean-Louis Grinda à l’Opéra de Monte-Carlo en mars 2016.

En juillet 2017, elle rechante le rôle d’Olga au Festspielhaus de Baden-Baden sous la direction de Valery Gergiev.

Toujours sous la direction du maestro russe, elle interprète Fricka dans Die Walküre à la Philharmonie de Paris en mars 2018.

Parmi ses projets, citons notamment le rôle de Carmen au Grand-Théâtre de Genève en septembre 2018.

Adagio Artists

SERGEEVA Ekaterina

Lirico

Hagar Sharvit est une mezzo-soprano israélienne née à Tel-Aviv et vivant en Allemagne. Après avoir terminé ses études à l'école de musique Buchmann-Mehta, elle s'est installée en Europe pour développer sa carrière. Hagar a notamment remporté le premier prix et le prix du public au concours international de chant « Das Lied ».
Hagar est une chanteuse de lied polyvalente, qui interprète des répertoires en allemand, français, anglais, espagnol, italien et israélien. Elle s'est produite dans des salles telles que la Pierre Boulez Saal à Berlin, le Konzerthaus de Berlin, le festival de Lucerne, le Heidelberger Frühling, Kissinger Sommer, le festival Ravinia, Aix-en-Provence, l'Elbphilharmonie, le festival Zeist, le Théâtre de la Ville à Paris, avec des pianistes tels que Graham Johnson, Ammiel Bushakevitz, Eric Schneider, Helmut Deutsch, Kevin Murphy, Daniel Gerzenberg, Kunal Lahiry, Alexander Fleischer, Akemi Murakami...
Parmi ses rôles à l'opéra, on peut citer Agrippina (Nerone) de Haendel, Hercules (Dejaneira), Radamisto (Zenobia), Theodora (Irene), Xerxes (Amastre). L'incoronazione di Poppea (Ottavia) de Monteverdi, Cherubino (Le nozze di Figaro) de Mozart, Angelina (la Cenerentola) de Rossini, Pinocchio (Les aventures de Pinocchio) de Dove, Hermia (Le songe d'une nuit d'été) de Britten...

En 2025-2026, Hagar chantera le rôle-titre dans une première mondiale du compositeur Jan-Peter de Graaf dans l'opéra The Stronger and Hagar avec le Nederlandse Reisopera et se produira à Amsterdam, Enschede, Drachten, Zwole et dans d'autres villes.

Elle chantera lors d'un concert avec le Quatuor Vogler au Konzerthaus de Berlin, interprétant les Rückert Lieder de Mahler et Ariadne auf Naxos de Haydn dans des arrangements pour voix et quatuor à cordes.
Elle se produira dans de nombreux récitals, entre autres avec Akemi Murakami dans la série « Liederleben » au château de Nymphenburg, avec Elenora Perz à Munich et Florence, avec Eric Schneider à Berlin, à la Hugo Wolf Akademie avec Elitsa Desseva et Mikhail Timoshenko à l'Opéra de Tours.

Parmi ses récentes prestations marquantes, citons les Kindertotenlieder de Mahler avec l'orchestre de l'opéra Carlo Felice, enregistrés pour la radio italienne, Alkmene dans « Die Liebe der Danae » de Strauss et Hermia dans « A midsummer night's dream » de Britten à l'opéra Carlo Felice, Trommler, Hänsel et Cherubino au Deutch Oper am Rhein, la deuxième Symphonie de Mendelssohn lors d'une tournée avec l'Ensemble Pygmalion et Raphael Pichon, le solo alto dans « Aus die Jüdische Poesie » de Chostakovitch avec l'Orchestre symphonique de la radio de Munich au Prinzregententheater, sous la direction de Patrick Hahn, le solo alto dans le Stabat mater de Dvorak à l'Opéra de Tours, des récitals à l'Elbphilharmonie, le festival Martha Argerich, au festival Rheinvokal avec le Quatuor Vogler.

Adagio Artists

Lirico

Anne-Sophie Vincent commence ses études vocales auprès de Maryse Castets au CRR de Bordeaux, où elle obtient son DEM en 2014.
Elle passe par le Canada, s’initie au piano, mais aussi au théâtre. Elle donne son premier récital de mélodies françaises et monte sur scène, au Grand Théâtre de Québec, en chantant La Récitante dans La Demoiselle Élue de Debussy sous la direction de Gilles Auger.

A son retour en France, elle est tour à tour Bessie (Mahagonny Songspiel de Kurt Weill) à l’OARA de Bordeaux ainsi que Boulotte (Barbe-Bleue d’Offenbach).

A l’Abbaye de Royaumont, elle incarne Mme Cortese (Il Viaggio a Reims) sous la direction de Carlos Aragon, mise en scène Stefan Grögler.
Lauréate de l’Académie Maurice Ravel, elle est programmée en juin 2017 au Festival Palazzetto Bru Zane au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris et chante le mois suivant le rôle de Susanna (Le Nozze di Figaro) à Vendôme.

En novembre 2017, elle participe à Der Zwerg de Zemlinsky à l’Opéra de Lille.

En juin 2018, elle gagne le Premier Prix au Concours International de Marseille, avant de remporter, en août de la même année, le Troisième Prix ainsi que celui de l’Opéra de Minsk au Concours de Marmande.

En février 2019, elle participe au Martyre de Saint-Sébastien de Debussy au Teatro Calderon de Valladolid, dans une mise en scène de La Fura dels Baus.

La saison 2019/2020 marque sa première Carmen au Grand Opéra de Jeju (Corée du Sud) ainsi que le rôle de Dorothée (Cendrillon) à l’Opéra National de Lorraine.

Durant les saisons dernières, elle remplace au pied levé une collègue souffrante dans le rôle de Myrtale (Thaïs de Massenet) à l’Opéra de Tours sous la baguette de Michel Plasson. Elle retrouve également le rôle de Carmen au Festival des Nuits Lyriques ainsi qu’au Théâtre de Marmande.
Récemment, elle est Nicolette (L’Amour des trois oranges) à l’Opéra National de Lorraine et aborde le rôle d’Angelina (Une Cenerentola) au Théâtre des Champs-Elysées ainsi qu’aux Opéras de Bordeaux et Rouen. Elle incarne également Myrtale et Albine (Thaïs) avec l’Opéra de Toulon, ainsi que Siébel (Faust) avec la Fabrique Opéra Grenoble.

Parmi ses projets, citons notamment la Deuxième Dame (Die Zauberflöte) à l’Opéra de Tours.

Adagio Artists

VINCENT Anne-Sophie

Lirico-Leggero

Conductors

Né à Vienne, Christian Arming, se forme auprès de Leopold Hager et Seiji Ozawa. En 1995, à l’âge de 24 ans, il est le plus jeune chef nommé à la tête de l’Orchestre Philharmonique Janáček d’Ostrava, poste qu’il occupe jusqu’en 2002.

De 2003 à 2013, il est directeur musical du New Japan Philharmonic de Tokyo, où il succède à Seiji Ozawa, et du Luzerner Sinfonieorchester. De 2011 à 2019, il est directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Liège, avec lequel il effectue de nombreux enregistrements.

Il est régulièrement invité et réinvité par de nombreux orchestres en Europe (Deutsches Sinfonieorchester, Hr-Sinfonieorchester de Francfort, Staatskapelle de Weimar, Orchestre du Mozarteum, Wiener Symphoniker, Orchestre de la Suisse Romande, Accademia Nazionale di Santa Cecilia, Orchestre National du Capitole de Toulouse, RAI de Turin, Staatskapelle de Dresde…) et dans le reste du monde (Boston Symphony Orchestra, Philharmonique de Malaisie et de Tampere, NHK Symphony Orchestra… ).

Depuis 1997, il dirige de nombreux opéras dont The Turn of the Screw à Cincinnati, Der Rosenkavalier à Trieste, La Bohème à Lucerne, Salome et Elektra à Vérone, Le Prince Igor à Strasbourg, Der fliegende Holländer, Don Giovanni, Jenufa, Les Contes d’Hoffmann, Der Zwerg à Francfort.

A Tokyo, il a dirigé également Pelléas et Mélisande, Fidelio, Les Mamelles de Tirésias, Gianni Schicchi, Salome, Eine florentinische Tragödie, Lohengrin et Die Fledermaus.

Après Carmen en 2019, il retourne diriger la Ozawa Academy en 2020 pour une nouvelle production de Die Fledermaus et vient d’être nommé chef principal de l’Orchestre Symphonique d’Hiroshima.

Parmi ses projets, citons notamment Ariadne auf Naxos à l’Opéra National de Montpellier.

Adagio Artists

ARMING Christian

Né en région parisienne, Vincent Renaud débute son parcours musical par l’étude du piano, du cor, de l’harmonie et du contrepoint. Admis à la Juilliard School de New-York, au CNSM de Paris puis à la Haute Ecole de Musique de Genève, il obtient quelques années plus tard un Master de Direction d’orchestre.

Reconnu pour ses qualités de pédagogue, Vincent Renaud est nommé en 2008 responsable du Département orchestres du Conservatoire Maurice Ravel de Levallois.

lI est également lauréat du Concours International de Jeunes Chefs d’orchestre de Chenôve en 2010 avant d’être finaliste, en 2011, du 52e Concours International de Jeunes Chefs d’Orchestre de Besançon.
Nommé Talent chef d’orchestre 2012 par l’ADAMI, Vincent Renaud a déjà dirigé, entre autres, l’Opéra National de Lyon, le Brussels Philharmonic, le Theater Orchester Biel Solothurn, l’Orchestre Lamoureux, l’Orchestre Régional de Cannes Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’Orchestre Pasdeloup, l’Orchestre de Besançon Franche-Comté, l’Orchestre Colonne, l’Orchestre Régional de Basse-Normandie, l’Orchestre du CNSM de Paris, l’Orchestre de la HEM de Genève, l’ensemble Court-Circuit…

Son goût pour les différentes esthétiques musicales lui permet de se produire avec des artistes issus d’horizons divers tels qu’Agnès Jaoui avec l’Orchestre Lamoureux au Théâtre des Champs-Elysées, le groupe britannique Archive au Grand Rex avec cette même formation, le célèbre violoniste de jazz Jean-Luc Ponty avec l’Orchestre Pasdeloup au Théâtre du Châtelet ou encore le clarinettiste David Krakauer.
Dans le domaine lyrique, il est l’assistant de Franco Trinca au Theater Biel-Solothurn pour Otello de Rossini. Il est également régulièrement invité par l’Opéra National de Lyon et assure en 2016 la direction musicale de Der Kaiser von Atlantis de Ullmann, mis en scène par Richard Brunel, production saluée par la critique.
Il collabore à la direction musicale de Jeanne d’Arc au Bûcher de Honegger mis en scène par Romeo Castellucci, Le Comte Ory de Rossini, La Vie Parisienne et Le Roi Carotte d’Offenbach, mis en scène par Laurent Pelly, L’Enfant et les Sortilèges de Ravel et Le Nain de Zemlinsky mis en scène par Grzegorz Jarzyna, Claude de Escaich mis en scène par Olivier Py, ainsi que Dialogues des Carmélites de Poulenc et Pelléas et Mélisande de Debussy mis en scène par Christophe Honoré.
Très actif dans le domaine de la création, Vincent Renaud a été récompensé pour l’opéra La Cantatrice Chauve du compositeur américain Jean-Philippe Calvin par le Prix de la révélation 2010 lors de la cérémonie des Orphées d’Or de l’Académie du disque lyrique.
De juin à septembre 2018, il assure la direction musicale de la nouvelle production de Carmen de Bizet mise en scène par le réalisateur Radu Mihaileanu pour Opéra en plein air, au sein d’une tournée à Paris et en France.

Plus récemment, il dirige deux concerts sur le thème d’Halloween à l’Opéra National de Lorraine ainsi qu’une nouvelle production de I Was Looking at the Ceiling and Then I Saw the Sky de John Adams à l’Opéra National de Lyon.

Parmi ses projets, citons notamment la direction musicale de L’Heure espagnole, toujours à l’Opéra National de Lyon.

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Instrumentistes

Né à Baltimore (U.S.A.), Jeff Cohen obtient les prix de piano et de musique de chambre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans les classes de Reine Gianoli et Geneviève Joy, avant de poursuivre sa formation auprès de Leon Fleisher aux Etats-Unis et Peter Feuchtwanger en Angleterre.

Actuellement professeur au Conservatoire de Paris, Jeff Cohen a été chef de chant à l’Opéra de la Monnaie à Bruxelles, professeur à l’Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris, responsable musical au Théâtre du Châtelet et conseiller à la Bibliothèque nationale de France pour une série de concerts sur la mélodie française.

Il se produit avec de nombreux artistes tels Roberto Alagna, June Anderson, Cecilia Bartoli, Yann Beuron, Measha Brueggergosman, Jean-Paul Fouchécourt, Véronique Gens, Angela Gheorghiu, Ivry Gitlis, Ida Haendel, Sumi Jo, Steve Lacy, François Le Roux, Noël Lee, Ute Lemper, Pierre Lénert, Vincent Le Texier, Mady Mesplé, Didier Sandre…

Il enregistre plusieurs disques : un récital « live » à La Scala avec Angela Gheorghiu ; des mélodies de Duparc, Fauré, Hahn, Gounod, Loeffler avec François Le Roux ; des lieder de Mozart au pianoforte avec Véronique Dietschy ; des chansons de Kurt Weill et de cabaret avec Ute Lemper ; deux pianos avec Noël Lee…

Il travaille comme chef de chant sur des enregistrements d’opéra avec Bertrand de Billy, Christopher Hogwood, John Nelson, Michel Plasson, George Solti…

Jeff Cohen a dirigé l’orchestre de L’Opéra de quat’ sous mis en scène par Giorgio Strehler au Théâtre du Châtelet, a assisté Myung-Whun Chung pour Otello à l’Opéra de la Bastille, a collaboré avec Patrice Chéreau pour Hamlet et Lucio Silla. Il a joué dans Impressions de Pelléas de Peter Brook et avec Fanny Ardant dans Masterclass, mise en scène de Roman Polanski. Il a été directeur d’études musicales de Street Scene de Kurt Weill avec l’Atelier Lyrique de l’Opéra de la Bastille. Actuellement, il tourne avec la chorégraphe Blanca Li dans son spectacle Le Jardin des délices.

Jeff Cohen compose des musiques de scène et de films. Il a conçu et a animé une émission pour les enfants, Jeff d’orchestre , après avoir collaboré avec Philippe Meyer pour Revenez quand vous voulez et Anicroches à la télévision française.

Jeff Cohen est nommé Chevalier des Arts et des Lettres en juin, 2006.

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Piano

Genc Tukiçi est un pianiste et compositeur qui a une double nationalité albanaise et française. Diplômé du Conservatoire de Tirana et de l’École normale de musique de Paris-Alfred Cortot, où il travaille actuellement.

Sa carrière internationale de pianiste concertiste l’a amené à jouer dans les plus grandes salles. Certains concerts, notamment aux Sommets Musicaux de Gstaad en Suisse, salle Gaveau, salle Cortot à Paris, au théâtre antique d'Orange ou à New York lui ont valu d'être reconnu comme l'un des instrumentistes les plus remarquables de sa génération.

Ses interprétations ont fait l’objet d’enregistrements, notamment avec les orchestres symphoniques de l'Opéra de Tirana et de Macédoine, avec l’orchestre Russe Tchaïkovski ou avec les orchestres de la Radiotélévision albanaise et slovène.

Il a reçu le prestigieux prix Nino Rota qui récompense « un grand musicien, de niveau
international » et remarque notamment ses « superbes interprétations faites de cœur et d’esprit, en parfaite symbiose avec l’orchestre ».

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